La mauvaise orientation coûte cher : les impacts psychologiques et financiers

vide de l'orientation scolaire

La mauvaise orientation coûte cher : les impacts psychologiques et financiers

La mauvaise orientation coûte cher et engendre un véritable gâchis humain et financier.

 

Les chiffres de la mauvaise orientation post-bac sont édifiants. Selon les estimations d’organismes proches du gouvernement, le coût global des mauvaises orientations pour l’État et les familles s’élève à plus de 500 millions d’euros par an.

Chaque année, un étudiant sur trois regrette son orientation post-bac et 20 % des étudiants entrés dans le supérieur sortent sans diplôme. Les difficultés se concentrent sur l’université. Seuls trois étudiants sur dix obtiennent leur licence en trois ans. Plus de 40 % d’entre eux mettent cinq ans ou plus à obtenir leur diplôme. Les étudiants perdent ainsi plusieurs années, changent d’orientation en cours de route, redoublent, ou sortent du système.

J’ai passé deux ans à la facture dans une licence qui ne me plaisait ni ne me déplaisait. Mais j’attendais juste que ça passe. J’ai été tellement soulagé quand j’ai osé en parler avec mes parents qui m’ont proposé de faire un coaching d’orientation. explique Yanis.

 

Une charge lourde tant psychologique et financière

 

Ces années sont souvent vécues comme un échec cuisant qui les fragilise et leur fait perdre confiance. Pour les familles, c’est une charge lourde, autant financière que psychologique.

Pendant l’année scolaire, les 7 millions de collégiens, de lycéens ou d’étudiants qui se trouvent à un moment clé de leur orienta- tion aimeraient avoir recours à un conseil neutre et expert. Un conseil pour trouver une orientation qui soit en adéquation avec leurs aspirations.

Au quotidien, BestFutur touche du doigt une inquiétude grandissante des jeunes, mais aussi cette volonté incroyable d’avancer dans la vie et de trouver sa voie, celle qui donnera envie de travailler, de se surpasser et d’atteindre ses rêves.

Tous les enfants ont leurs propres ressources. Ils cherchent parfois juste le petit coup de pouce qui les aidera à s’engager sur le chemin de la réussite.

 

Anna est partie dans l’une des meilleures universités britanniques après l’obtention de son bac. Elle laisse derrière elle sa famille, son petit ami et son chat. De nature timide, elle se fait difficilement à cette vie qui ne ressemble en rien à celle qu’elle a eue pendant ses années collège puis lycée auprès de ses amis. Deux mois après la rentrée, elle craque et rentre chez ses parents, terrifiée pour son avenir et honteuse de ne pas avoir su surmonter ses peurs.

 

Vous retrouverez le détail de son histoire dans notre livre « Qu’est-ce que tu veux faire plus tard? » en p. 254.

Chaque jeune devrait avoir l’opportunité de se poser les bonnes questions quant au choix de son orientation. Si vous êtes parents et ne savez pas comment vous y prendre, passez la main…

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